Scène III
MARCELINE, BARTHOLO, FIGARO.
Figaro s’interrompt
…Héééé, voilà le gros docteur, la fête sera complète. Hé, bonjour, cher docteur de mon cœur ! Est-ce ma noce avec Suzon qui vous attire au château ?
Bartholo, avec dédain
Ah ! mon cher monsieur, point du tout.
Figaro
Cela serait bien généreux !
Bartholo
Certainement, et par trop sot.
Figaro
Moi qui eus le malheur de troubler la vôtre !
Bartholo
Avez-vous autre chose à nous dire ?
Figaro
On n’aura pas pris soin de votre mule !
Bartholo, en colère
Bavard enragé, laissez-nous !
Figaro
Vous vous fâchez, docteur ? Les gens de votre état sont bien durs ! Pas plus de pitié des pauvres animaux… en vérité… que si c’était des hommes ! Adieu, Marceline : avez-vous toujours envie de plaider contre moi ? Pour n’aimer pas, faut-il qu’on se haïsse ? Je m’en rapporte au docteur.
Bartholo
Qu’est-ce que c’est ?
Figaro
Elle vous le contera de reste.Il sort.